Cercle Sécurité et Défense – Quel avenir pour les métiers de la sécurité et de la défense ?

Le Cercle Sécurité et Défense s’est réuni dans le cadre de son dîner-débat le mercredi 18 décembre 2024 autour du thème « Quel avenir pour les métiers de la sécurité et de la défense (attractivité, formation, évolution, innovation)». La réunion était animée par les co-présidents du Cercle, Christophe Plassard, député de la Charente-Maritime, et Philippe Latombe, député de la Vendée. 

L’attractivité, la fidélisation et l’évolution des métiers de la sécurité et de la défense représentent un enjeu central pour l’ensemble des acteurs, publics comme privés. Plusieurs rapports parlementaires l’ont déjà souligné (rapport du Sénat sur la transformation des ressources humaines des armées publié en mars 2023, rapport de l’Assemblée nationale sur les enjeux économiques de la sécurité privée publié en 2021). Pour autant, le défi reste colossal pour la filière.

Pour approfondir ce sujet et identifier les politiques publiques et initiatives privées permettant de répondre à ces enjeux, notre débat s’est articulé autour de plusieurs questions clés :

  • Attractivité des métiers et recrutement :
    • Comment attirer et conserver les meilleurs talents dans un secteur qui nécessite souvent des conditions de travail exigeantes ?
    • Comment améliorer la visibilité des métiers de la sécurité et de la défense (campagnes de communication, formations, etc.) ?
    • Quels leviers et politiques publiques mettre en œuvre pour améliorer les conditions de travail et l’évolution de carrière dans ces secteurs – passerelles avec d’autres secteurs ?
  • Formation :
    • Comment adapter les formations continues pour suivre l’évolution rapide des technologies et des menaces ?
    • Comment améliorer l’accès et la participation aux formations continues pour les professionnels déjà en poste ?
  • Evolution des compétences :
    • Comment les innovations technologiques redéfinissent-elles les compétences nécessaires aux métiers de la sécurité et de la défense ?
    • Comment adapter l’offre de formation en conséquence ?

Une quarantaine de participants, parmi lesquels de nombreux acteurs de l’écosystème de la sécurité et de la défense, de même que des représentants de l’administration, ont pris part aux échanges ouverts par :

  • Christophe BESSE, directeur des opérations du Conseil national des activités privées de sécurité (CNAPS)
  • Xavier JABOT, général de brigade aérienne, sous-directeur « études, politique des ressources humaines et gestion du haut encadrement militaire » de la direction des ressources humaines de l’Armée de l’Air et de l’espace (Ministère des Armées et des Anciens combattants)
  • Alain BOUILLE, délégué général du Club des Experts de la Sécurité de l’Information et du Numérique (CESIN)
  • Pierre BRAJEUX, Président de la Fédération Française de la Sécurité Privée (FFSP).

Quel avenir pour les métiers de la sécurité et de la défense

Le Cercle Sécurité et Défense s’est réuni dans le cadre de son dîner-débat le mercredi 18 décembre 2024 autour du thème « Quel avenir pour les métiers de la sécurité et de la défense (attractivité, formation, évolution, innovation)». La réunion était animée par les co-présidents du Cercle, Christophe Plassard, député de la Charente-Maritime, et Philippe Latombe, député de la Vendée. 

L’attractivité, la fidélisation et l’évolution des métiers de la sécurité et de la défense représentent un enjeu central pour l’ensemble des acteurs, publics comme privés. Plusieurs rapports parlementaires l’ont déjà souligné (rapport du Sénat sur la transformation des ressources humaines des armées publié en mars 2023, rapport de l’Assemblée nationale sur les enjeux économiques de la sécurité privée publié en 2021). Pour autant, le défi reste colossal pour la filière.

Pour approfondir ce sujet et identifier les politiques publiques et initiatives privées permettant de répondre à ces enjeux, notre débat s’est articulé autour de plusieurs questions clés :

  • Attractivité des métiers et recrutement :
    • Comment attirer et conserver les meilleurs talents dans un secteur qui nécessite souvent des conditions de travail exigeantes ?
    • Comment améliorer la visibilité des métiers de la sécurité et de la défense (campagnes de communication, formations, etc.) ?
    • Quels leviers et politiques publiques mettre en œuvre pour améliorer les conditions de travail et l’évolution de carrière dans ces secteurs – passerelles avec d’autres secteurs ?
  • Formation :
    • Comment adapter les formations continues pour suivre l’évolution rapide des technologies et des menaces ?
    • Comment améliorer l’accès et la participation aux formations continues pour les professionnels déjà en poste ?
  • Evolution des compétences :
    • Comment les innovations technologiques redéfinissent-elles les compétences nécessaires aux métiers de la sécurité et de la défense ?
    • Comment adapter l’offre de formation en conséquence ?

Une quarantaine de participants, parmi lesquels de nombreux acteurs de l’écosystème de la sécurité et de la défense, de même que des représentants de l’administration, ont pris part aux échanges ouverts par :

  • Christophe BESSE, directeur des opérations du Conseil national des activités privées de sécurité (CNAPS)
  • Xavier JABOT, général de brigade aérienne, sous-directeur « études, politique des ressources humaines et gestion du haut encadrement militaire » de la direction des ressources humaines de l’Armée de l’Air et de l’espace (Ministère des Armées et des Anciens combattants)
  • Alain BOUILLE, délégué général du Club des Experts de la Sécurité de l’Information et du Numérique (CESIN)
  • Pierre BRAJEUX, Président de la Fédération Française de la Sécurité Privée (FFSP).

Club Protection sociale – La prévention en santé

Le club de la Protection sociale s’est réuni le mercredi 18 décembre autour du thème : « La prévention en santé ». La réunion était co-présidée par Cyrille Isaac-Sibille, député du Rhône, et Stéphane Viry, député des Vosges. 

Réussir le virage préventif est non seulement un impératif pour préserver près de 100 000 vies par an, réduire les inégalités en santé mais aussi, à plus long terme, réaliser les économies dont l’Assurance maladie a besoin, la prévention permettant de rester en bonne santé tout au long de la vie. La prévention en santé nécessite un portage politique fort pour prévenir les affections de longue durée (ALD), promouvoir la santé, développer le sport santé, la santé au travail ou à l’école…

  • Prévention en santé : de quoi parle-t-on ? Quels sont les enjeux pour le système de protection sociale ?
  • Quelle(s) prévention(s) ciblée(s) selon une approche populationnelle ? Avec quels moyens ? Quels résultats en attendre ? Quels acteurs engager ?
  • Quels sont les défis d’une politique de prévention interministérielle et de la nouvelle Stratégie Nationale de Santé en attente de publication ?
  • Comment la prévention en santé peut-elle être un levier d’économies pour l’Assurance maladie ?

Une trentaine de participants, parmi lesquels des parlementaires, présidents, directeurs et délégués généraux d’entreprises, de fédérations et d’associations, ont pris part aux échanges ouverts par :

  • Charles GUÉPRATTE, Directeur général de la Fédération des établissements hospitaliers et d’aide à la personne privés non lucratifs
  • Indy DE DEKEN, Président de l’Association des auditeurs de l’Institut des hautes études de protection sociale (IHESP)
  • Luis GODINHO, Vice-président du Syndicat des Audioprothésistes
  • Philippe DABAT, Directeur Santé & Prévoyance chez AG2R La Mondiale
STUDIO-MIR.FR/CCAS